Lucas [Aventure 2] |Solo|

Tu t'approche du barman et tu es surpris par son apparence : c'est une personne d'une espèce inconnue.

Bahhina - Je m'appelle Bahima, barman de haute distinction dans cette magnifique taverne

En quoi puis-je vous aider, être sensible ?

Lucas - Puis-je parler avec vous du meurtre du capitaine Fumio ?

Bahhina - Cet incident m'a beaucoup troublé. C'est une bien triste affaire. Et ça fait du tort au commerce. Pourquoi donc vous-y intéressez-vous ?

Lucas - Une de mes connaissances, Gadhon Thek, est actuellement interrogée par l'armée à ce sujet. J'aimerais bien le libérer.

Bahhina - Moi aussi, parce qu'il fait partie de mes clients les plus réguliers. Laissez-moi structurer ma mémoire pour que je me souvienne de ce soir-là. Posez vos questions.

Lucas - Vous connaissez Gadhon Thek ?

Bahhina - Je le connais très bien. De nombreux êtres sensibles demandent des conseils aux barmen. Dans mon monde, nous donnons parfois aussi des conseils d'ordre spirituel. C'est une marque de confiance que j'essaie d'honorer.

Lucas - J'ai entendu dire que Fumio avait profondément humilié Gadhon Thek le soir du meurtre. C'est un excellent mobile.

Bahhina - Ahh... les gens ne savent pas que Fumio et Gadhon avaient des relations plutôt compliquées. Parfois, le soir, ils se soûlaient et se lançaient des noms d'oiseaux à la figure.

Pour eux, c'était presque un jeu. Quelque chose qui les excitait. Quant aux soldats…?

On aurait pu croire qu'ils se détestaient vraiment. En public, leurs joutes verbales étaient d'une rare violence !

Les soldats doivent comprendre que Dhagon n'était pas fâché avec elle, ce soir-là. Il lui a payé un verre plus tard, comme d'habitude.

Notes :
Cela devrait t'aider à innocenter Gadhon, mais les Tondéroniens sont têtus. Ils ne le relâcheront pas si facilement.

Peut-être que quelqu'un ici en sait davantage sur ce qui s'est passé cette nuit-là...

Lucas - Qu'est-ce qui s'est passé le soir du meurtre ?

Bahhina - J'étais très occupé, ce soir-là. Un groupe d'Orques essayait de tout casser dans mon bel établissement. Je ne sais pas vraiment ce qui s'est passé. J'ai peur de ne pouvoir beaucoup vous aider dans votre enquête.

Que fais-tu ?

Je vais voir Sacarye, la haute-elfe.

Tu t'approche de la haute-elfe.

Sakarye - Bonjour, que voulez-vous ?

Lucas - J'aimerais vous parler du meurtre du capitaine Fumio...

Sakarye - Je ne peux vraiment pas vous aider... Cette nuit-là, j'aurais pu me trouver dans la même cellule que celle où Gadhon croupit en ce moment... Les soldats m'ont posé beaucoup de questions ce soir-là. Je ne sais pas du tout ce qui s'est passé.

Lucas - Pourquoi est-ce qu'ils vous ont interrogée ?

Sakarye - Hum... Disons qu'on me soupçonne souvent. C'est comme ça... Je n'ai rien d'autre à ajouter.

Que fais-tu ?

Je vais voir le joueur de White Jack.

Nikko - Oui, que voulez-vous fier aventurier ?

Lucas - Je voudrais vous parler du meurtre du capitaine Fumio...

Nikko - Une sale histoire, croyez-moi. J'étais là comme tous les soirs ou presque. Que voulez-vous savoir ?

Lucas - Vous connaissez Ghadon Thek ?

Nikko - Si je le connais ? Je n'ai pas de meilleur ami sur Aerion. Entre nous, ce n'est pas un très bon médecin. Mais comme compagnon de beuverie, il tient la route.

Lucas - J'ai entendu dire que Fumio aurait profondément humilié Gadhon Thek le soir du meurtre. C'est un excellent mobile.

Nikko - Vraiment ? Par les quatre lunes d'Aerion, c'est n'importe quoi. Ils n'ont rien compris. Gadhon et Sullio étaient les meilleurs amis du monde. Le problème, c'est que parfois ils forçaient un peu trop sur la bière. Ils se traitaient de tous les noms, mais c'était par jeu et sans méchanceté. Leurs prises de becs étaient très comiques, d'ailleurs. Ce soir-là, Fumio tenait vraiment la forme. Avec Gadhon, on a longtemps rigolé de ses trouvailles : 'Tête de bouse à dents jaunes', par exemple. Hé hé. On lui a offert un verres ou deux, après ça. C'était leur habitude, leur façon de passer le temps pendant ces nuits sombres, même si ça peut paraître bizarre. Pour les soldats, c'est un mobile valable, ça ? Ils n'ont pas dû chercher bien loin.

Lucas - Que s'est-il passé le soir du meurtre ?

Nikko - Je ramassais les gains d'une partie de White Jack assez juteuse, quand j'ai entendu un bruit dehors. J'ai saisi mon poignard et je suis allé à la porte. Quand je suis sorti, j'ai vu le capitaine Fumio. Il était mort et bien mort. Il y avait du sang partout. J'ai entendu un bruit, puis j'ai vu Gadhon Thek sortir de son bureau et traverser la cour. On a attendu les autorités ensemble. Le lendemain, ils sont venus cueillir Gadhon et plusieurs autres personnes dans le secteur. Le croire coupable, c'est insensé. Fumio était notre ami.

Lucas - Où avez-vous trouvé le corps ?

Nikko - Derrière la porte, près des ordures.

Notes :
Il serait préférable d'examiner attentivement le lieu du crime. Les Tonderonniens sont assez connu pour être stupides et désorganisés. Ça n'étonnerait personne qu'ils aient laissé des indices.

Que fais-tu ?

Je vais examiner le lieu du crime.

Tu avance sur les lieux du crime.
Le corps de Fumio est étendu là. Il y a beaucoup de sang mais tu parviens à distinguer une lettre que le cadavre tient.
Tu la prend mais tu ne comprends rien car le message est écrit en Hazorien.

Peut-être à la taverne quelqu'un sait lire le Hazorien...

Que fais-tu ?

Je vais voir Qip, le client elfe sombre.

Tu t'approche de l'elfe noir. Il te dévisage puis te demande :

Qip - Oui, que voulez-vous ?

Lucas - Je souhaiterais vous parler du meurtre du capitaine Fumio.

Qip - J'ai eu le malheur d'être présent là-bas ce soir-là. Que souhaitez-vous savoir ?

Lucas - J'ai une lettre écrite en Hazorien. Est-ce que vous pouvez en extraire des informations ?

Qip - Je vais y jeter un oeil. Donnez-moi une minute ou deux.

.../ Qip lis attentivement la lettre /...

Voilà la traduction... Voyons un peu...

"Je me trouve dans la Place des bestiaires.
Il fait sombre et j'entends les gangsters arrivés.
J'ai essayé de frapper à la porte de Gadhon mais celui-ci dort comme une taupe !
J'ai juste le temps d'écrire cette lettre avant que... [Taches de sang et coups de dagues]"

Les cous de dagues proviennent de devant Fumio et non de derrière où se trouvait Gadhon !
Il est donc innocent.

Qip - Voilà... D'après ces informations, le meurtrier venait de la place du marché. Vous devriez aller montrer ça à Nikko.

Que fais-tu ?

Je vais montrer ça à Nikko.

Tu t'approche de Nikko.

Nikko - Tiens, vous revoilà ! Que voulez-vous ?

Lucas - Je voudrais vous montrer une traduction d'une lettre avec quelques indices très intéressants !

Nikko - Si ça peut aider Gadhon, d'accord.

.../ Nikko lis la lettre et tu lui explique les indices /...

Nikko - Il est tout à fait impossible que Gadhon ait fait le coup. Je l'ai vu sortir de son bureau. C'est exactement à l'opposé du marché. On devrait aller en parler à un capitaine de la ville. Si vous en connaissez un, allez le voir. Je vous suis.

Réfléchis bien et dis-moi qui tu vas voir.

Je vais voir le Capitain Rikken.

Tu marche vers la Place des Marchants en compagnie de Nikko. Le Capitaine Rikken t'aborde.

Capitaine Rikken - Nikko, c'est ça ? Et vous, je vous connais. Qu'est-ce qui vous amène, tous les deux ?

Lucas - Gadhon Thek ne peut pas avoir tué le capitaine Fumio, c'est impossible.

Capitaine Rikken - Vous me paraissez bien catégorique. J'ose espérer que vous avez la preuve de ce que vous avancez...

Lucas - Nikko peut vous l'expliquer.

Nikko - J'espère que vous serez patient, capitaine, car c'est une longue histoire. Le soir du meurtre, je jouais au White Jack. La chance était de mon côté...

... / ...

Capitaine Rikken - Cela devrait suffire. J'apporte ce témoignage au major. Allez attendre dans le bureau de Gadhon, mes hommes vous l'amèneront bientôt. Nous ne savons toujours pas qui a tué Sullio, mais ceci fera grandement avancer notre enquête.

Major - On vous a sommé de ne plus vous occuper de cette enquête, capitaine. Expliquez-vous !

Capitaine Rikken - Je n'ai rien à voir avec ça, major. C'est cette personne qui a découvert des informations au sujet du meurtre du capitaine Fumio. Cela doit être versé au dossier de l'enquête.

Major - Nous avons déjà notre homme. Fumio et ce Thek se battaient la nuit où elle a été assassinée. C'est un motif suffisant.

Lucas - Ils ne se battaient pas vraiment. Les habitués de la taverne pourraient en témoigner.

Major - Vous avez lu le rapport ? Les insultes que lui a lancées Fumio n'étaient pas piquées des vers. Fumio et Gadhon se détestaient, c'est évident.

Lucas - Ils étaient amis. Il arrive que des amis se taquinent. Bon, ils ont peut-être poussé le bouchon un peu loin...

Major - Vous pensez que je vais croire que...

Nikko - C'est l'exacte vérité, major. J'étais ami avec les deux. Ils ont fait cela des dizaines de fois.

Bahhina, le patron de la taverne, peut le confirmer. Et une bonne demi-douzaine d'autres personnes. Malgré les apparences, ils ne se haïssaient absolument pas.

Major - Je vois... Bon, il reste toujours le fait qu'il était présent sur les lieux du crime.

Lucas - C'est vrai. Nikko l'a vu venir de son bureau.

Major - La seule chose qui compte à mes yeux, c'est qu'il était à portée de frappe quand Fumio a été tuée. Et surtout, il n'avait pas d'alibi.

Lucas - Il venait de son bureau, mais un indice montre que le coup provenait de la direction opposée.

Major - Vous avez un indice ? Je suis sûr que vous en faites une mauvaise interprétation.

Capitaine Rikken - Moi aussi, je l'ai vu, major. Nikko n'est pas le seul à avoir aperçu Dhagon Gent sortant de son bureau. Ça ne peut pas être Gadhon.

Le vrai tueur court toujours.

Major - Très bien, capitaine. Libérez Thek. Mais s'il s'avère plus tard qu'il est coupable, vous le regretterez.

Capitaine Rikken - Les hommes vont faire le nécessaire pour sortir Gadhon Thek de prison, mais ça ne fait pas plaisir au major.

Vous avez magnifiquement réglé le problème. Gadhon vous doit une fière chandelle... et à vous aussi, Nikko.

Lucas - Le major n'avait pas tellement envie de croire à l'innocence de Gadhon.

Capitaine Rikken - L'enquête a été dirigée au plus haut niveau, et j'ai entendu dire que cela avait causé quelques... préoccupations.

Maintenant que Gadhon est libre, je ne suis pas sûr que les enquêteurs trouvent un autre suspect. On ne peut pas dire qu'ils aient déployé des efforts importants jusque-là...

Lucas - Que voulez-vous dire ?

Capitaine Rikken - Je n'en dirai pas davantage. J'ai déjà sans doute trop parlé.

Allez au bureau de Gadhon Thek. Mes hommes l'y amèneront dans quelques minutes.

Merci d'avoir réglé cette affaire. Je savais bien que justice n'avait pas été rendue, mais les soldats doivent obéir aux ordres...

Qu'Aerion vous soit favorable !

Que fais-tu ?

Je vais au bureau de Gadhon Thek.

Tu entre dans le bureau de Gadhon et les soldats le ramène. C'est un grand homme chauve et pâle.

Gadhon Thek - Merci de m'avoir tiré d'ici. C'était très confortable, pour une cellule de détention. Mais je préfère tout de même en être sorti. J'ai une dette envers Nikko et vous.

Lucas - Pourquoi vous-êtes vous retrouvé enfermé ?

Gadhon Thek - Je me trouvais au mauvais endroit au mauvais moment. Je connaissais le capitaine Fumio et j'étais un peu trop près de lui quand il est mort. Vraiment dommage, d'ailleurs. Elle était plus qu'agréable à regarder et elle savait boire.

Lucas - Vous n'avez pas la moindre idée de qui l'a tuée ?

Gadhon Thek - Non, et en ce moment, je m'en moque. La seule chose qui m'importe, c'est d'être libre.

Lucas - Vous vous en fichez ?

Gadhon Thek - Elle est morte, non ? Ce n'est pas comme si le fait de trouver le responsable pouvait la ramener à la vie. Et la mort, je la fréquente tous les jours. D'autant qu'elle nous attend tous, au bout du compte.

Lucas - Cet endroit est dans un triste état. Il a certainement été pillé.

Gadhon Thek - Oui, en effet. Mais bon, c'était déjà à peu près comme ça, avant.

Lucas - N'êtes-vous pas médecin ? Cet endroit ne devrait-il pas être propre et stérile ?

Gadhon Thek - Un peu de poussière n'a jamais tué personne... enfin, pas grand monde, disons... et les mauvais payeurs n'ont que ce qu'ils méritent. J'offre plusieurs options à mes clients. S'ils choisissent le haut de gamme, je me change et je fais le ménage. Sinon, ils connaissent les risques.

Lucas - Vous ne les appelez pas des patients ?

Gadhon Thek - Patients, clients... appelez-les comme vous voudrez. La plupart des docteurs vous diront qu'ils ont choisi ce métier pour sauver des vies, mais ils mentent comme des arracheurs de dents. Moi, je fais ce métier uniquement pour l'argent.

Lucas - Je préférerais parler d'autre chose.

Gadhon Thek - Quoi, par exemple ?

Lucas - On m'a dit que vous pourriez peut-être m'aider. J'ai besoin d'un visa pour rentrer chez moi.

Gadhon Thek - Oui, bien sûr ! Puisque vous m'avez libéré, je vous le fait gratuit ! Il faudrait que vous partiez avant que la Reine ne soit assassinée.

Lucas - Qui essaie de tuer la reine ?

Gadhon Thek - Personne ne le sait avec certitude, mais tout le monde est persuadé que le colonel Vaklukl est dans le coup. Tout est fait pour que la nouvelle des attentats ne s'ébruite pas, mais le palais est totalement bouclé.

Lucas - Pouvez-vous me le faire ce visa ?

Gadhon Thek - Il y a un léger souci et j'imagine que ça ne va pas vous faire plaisir, compte tenu des efforts que vous avez déployés pour me libérer.

Le problème, c'est que les ferrailleurs n'ont pas tardé à me dévaliser. Ça ne vaut pas grand-chose, donc, ce n'est pas grave. Par contre, j'avais un tampon pour les visas, ils me les ont piqués.

Et il me faut absolument un tampon qui me permet d'officialiser un visa. Croyez-moi, il est impossible de sortir de Toderon sans visa tamponné !

Lucas - Qui l'a récupéré ?

Gadhon Thek - Cette rue appartient à la bande de Bakkel. A ce que j'ai entendu, c'est elle qui m'a tout piqué.

En général, elle traîne à la taverne. Elle est aussi robuste que le cuir d'un éléphant oriental et aussi agressive qu'un Drexel affamé. Mais si vous y allez fermement, ça devrait bien se passer.

Rapportez-moi mon tampon et je vous libérerais de cette ville.

Tu gagne 20 Points de Bien mais tu pourra toujours te les retirer plus tard (je te le dirais).

Que fais-tu ?

Je vais à la taverne ou traine la bande de Bakkel.

Important : Rajoute-toi 20 Points de Bien

Tu avance dans la Place des Bestiaires quand tu aperçoit le Capitaine Rikken qui patrouille dans une ruelle sombre.

Tu peux aller le tuer pour perdre tes points de Bien et gagner des points de Mal.

Le fais-tu ?

NON

Tu arrive dans la taverne et tu entre dans le quartier des bestiaires.
Bakkel se trouve là en compagnie de Pannar, celui à qui tu as parlé précédemment.
Elle t'aborde :

Bakkel - Qu'est-ce que vous faites ici ? La salle est déjà prise... comme tout le reste de la cantina, d'ailleurs. Vous feriez mieux de vous en aller.

Lucas - Vous êtes un bestiaire ?

Bakkel - Qu'est-ce que ça peut vous faire ?

Elle a l'air agressive.
Utilise-tu...

->La méthode douce
->La méthode financière
->La méthode agressive

La méthode douce.

Lucas - Peut-être que nous pourrions discuter...

Bakkel - Vous entendez ?! Le gentleman veut jouer aux pieds tendres ! Tuez-le vous autres !

Ton petit jeu t'a fait gagner 3 Points de Bien.
Bakkel te fonce dessus avec une épée longue.

Attaque : 14

Tu pare sans problèmes son coup et tu contre-attaque.

Attaque : 4
Dégâts : 6+2-1(armure)=7

Son armure adoucit les dégâts mais elle se prend une volée dans le ventre.

Attaque : 6
Parade : 7 (réussit)
Rupture : 1

La frappe qu'elle t'a envoyé aurait pu être fatale si tu ne l'avait pas paré avec ton bouclier mais sous la violence tu choc, il se brise en morceaux.
Tu utilise rage.

Attaque : 9
Attaque : 18
Attaque : 2 (CC)
Dégâts : 8+2-1=9
CC : 7

Dans une colère tu fait tourner ton épée et tu te met à frapper sur tout ce qui bouge dans la salle.
Bakkel est frappée au visage et a désormais une belle balafre.
Poklar (mais si, tu t'en souviens !) esquive tes coups.
Et le dernier bestiaire meurt dans ton coup.

Bakkel riposte.

Attaque : 19
MC : 15

Bakkel était tellement déstabilisée par ta rage qu'elle se plante son épée dans sa jambe puis meurt.
Tu attaque Poklar.

Attaque : 9
Dégâts : 7+2=9

Ton attaque est très puissante et il se déstabilise.

Attaque : 11

Il tente une feinte d'estoc mais la rate.
Il se retrouve la tête en bas et tu es prêt à la couper.

Épreuve de force : 6

Tu parviens à lui trancher la tête.

Tu récupère le tampon officiel.

En fouillant les bestiaires, tu trouve :
-40 PO
-Une épée longue
-2 épées courtes
-Une armure lourde
-Des bottes de bestiaires
-Des gants de voleurs

Que fais-tu ?

Je prend les 40 PO.

Que fais-tu ?

Je vais voir Gadhon Thek pour lui rendre son tampon.

Tu retourne voir Gadhon Thek à son cabinet.

Gadhon Thek - Alors ? Vous avez récupéré le tampon ?

Lucas - Oui, je l'ai extirpé à Bakkel.

Gadhon Thek - Splendide ! Attendez un peu... [pause de 5 minutes] Et voilà ! Un visa nominatif est pour vous. Je vous conseille de quitter Toderon sur le champ. Nous sommes sur le pied de guerre.

Lucas - Bien, mais d'abord, j'ai une question à vous poser. Dans quel camps êtes-vous ?

Gadhon Thek - J'aimerais pouvoir dire Vaklukl mais mon dossier est assez gros auprès de la reine alors je pense que je lui serais favorable. Allez, quittez Toderon quand il en est encore temps !

Que fais-tu ?